Un index glycémique scientifiquement prouvé !
Dès le début de l’aventure, Oh Oui ! a fait le choix de s’appuyer sur l’Institut Pasteur de Lille pour mieux comprendre les clés de l’index glycémique. Il était très important pour nous de vous apporter une information scientifique fiable et rassurante, c’est pourquoi nous leur avons aussi confié une étude in vivo sur l’impact glycémique de nos pâtisseries.
Cette dernière a démontré que les pâtisseries Oh Oui ! ont un index glycémique très bas, situé entre 6 et 19 et donc que leur consommation n’entraine pas, ou peu, d’augmentation de la glycémie. Ainsi, cette étude réalisée par le Dr Jean-Michel Lecerf, Responsable du Service Nutrition et Activité Physique de l’Institut Pasteur de Lille, confirme que les pâtisseries de la marque Oh Oui ! sont adaptées aux personnes qui surveillent leur alimentation et leur apport en sucre pour veiller à leur santé.
Oh Oui !, un faible index glycémique bénéfique pour la santé !
L’avantage d’un produit à Index Glycémique bas est d’éviter le pic d’insuline dans l’organisme après la consommation d’un aliment, contrairement aux produits très sucrés qui font grimper la glycémie en flèche. Ainsi, le corps limite la transformation du sucre en gras et la fatigue de l’organisme. Il n’y a donc pas d’effet néfaste sur la ligne et la santé.
👉 Bon à savoir :
Index glycémique bas : IG ≤ 55
Index glycémique moyen : 56 ≤ IG ≤ 69
Index glycémique élevé : IG ≥ 70
Pour obtenir un IG bas, chez Oh Oui !, nous remplaçons le sucre blanc par des sucres à index glycémique naturellement bas : le sucre de coco (IG 35), le sucre de raisin (IG 20) et le sirop d’agave (IG 15). Pour les farines, priorité aux fibres qui permettent de ralentir l’absorption des glucides et donc de faire baisser l’index glycémique, comme la farine semi-complète (T110) de blé, la farine de pois chiche, le son d’avoine et un apport de fibres de chicorée qui apportent de l’inuline, aux effets prébiotiques. Aussi, Oh Oui ! a choisi de ne pas utiliser d’édulcorants intenses (aspartame, acésulfame, …) ni de sucres alcool (maltitol, xylitol, sorbitol, …) dans ses recettes.
« Les chiffres du diabète sont alarmants et si rien ne change, ce seront 700 millions de personnes à travers le monde qui seront malades d’ici 25 ans. Baisser la consommation de sucre est plus que nécessaire. Je reste une gourmande et en lançant Oh Oui !, j’avais à cœur de proposer des produits qui soient à la fois gourmands et bons pour la santé. Nous y sommes arrivés, notamment avec le soutien de l’Institut Pasteur de Lille. Pour compléter notre démarche, il était important pour nous d’avoir la preuve scientifique que nos produits avaient un impact moindre sur la glycémie. L’étude démontre que l’index glycémique de nos pâtisseries, qui contiennent jusqu’à 65% de sucre en moins, ne dépasse pas 25, contre 60 à 70 pour une pâtisserie classique. » Delphine Cousseau, responsable marque Oh Oui !
Des résultats d’étude très satisfaisant
Dans un premier temps, l’index glycémique des recettes avait été testé in vitro par un laboratoire agréé pour s’assurer de leur IG bas. Par la suite, Oh Oui ! a demandé une étude clinique à l’Institut Pasteur de Lille afin de mesurer l’impact de ses pâtisseries sur la réponse glycémique et pouvoir apporter une information scientifique fiable à ses consommateurs gourmands et/ou diabétiques. Pour cette étude, Oh Oui ! a sélectionné 6 recettes plébiscitées par les consommateurs à la boutique. Celle-ci a porté sur 10 volontaires sains, non diabétiques pour mesurer l’impact sur le taux de glycémie des testeurs (hommes et femmes, de 18 à 65 ans).
L’étude met en avant de façon scientifique :
- un IG particulièrement bas, de 6,6 à 18,2
- une absence de pic d’insuline après consommation.
« Nous savions que nos pâtisseries avaient un IG bas car plusieurs de nos clients diabétiques nous ont déjà confirmé en boutique ne pas avoir de pic glycémique après leur consommation. D’ailleurs certains diabétologues et nutritionnistes nous envoient leurs patients, mais nous souhaitions apporter à nos clients une preuve scientifique rassurante, ce que permet cette étude. » Fanny Barbe, co-responsable Oh Oui !