Chez Oh Oui !, tout a commencĂ© avec une histoire de vie. Celle de Delphine, qui a toujours travaillĂ© dans le secteur de la pĂątisserie et qui ne sâest jamais empĂȘchĂ©e une part de gĂąteau. Mais un jour, le diagnostic tombe : un cancer du sein. Un choc, des questions et surtout une prise de conscience : Comment concilier ce goĂ»t de la pĂątisserie sans se faire de mal ?Â
Câest de cette Ă©preuve quâest nĂ©e Oh Oui !, avec une idĂ©e simple mais forte : garder le plaisir tout en rĂ©duisant le sucre et en ayant un impact contrĂŽlĂ© sur la glycĂ©mie. Parce que se faire plaisir ne devrait jamais rimer avec culpabilitĂ©, ni avec risque.
De nombreuses Ă©tudes montrent aujourdâhui que la consommation excessive de sucre peut favoriser lâinflammation chronique, le surpoids et, indirectement, certains types de cancers, dont celui du sein.
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En ce mois dâoctobre, nous nous engageons Ă rappeler quelques gestes simples mais essentiels :
đ Le dĂ©pistage sauve des vies â une mammographie tous les deux ans Ă partir de 50 ans (et plus tĂŽt en cas dâantĂ©cĂ©dents).
đ Lâautopalpation mensuelle permet de repĂ©rer plus tĂŽt une anomalie.
đ Bouger, bien manger et rĂ©duire le sucre, câest aussi une forme de prĂ©vention au quotidien.
Les signes qui doivent vous alerterÂ
Lors de vos autopalpations ou simplement en observant vos seins, soyez attentif.ve Ă tout changement inhabituel :
đ une boule ou une masse dans le sein ou sous lâaisselle
đ une modification de la peau (rougeur, ĆdĂšme, aspect de peau dâorangeâŠ)
đ une rĂ©tractation du mamelon, de la peau ou de lâarĂ©ole
đ un changement de forme, de couleur ou un Ă©coulement au niveau du sein
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MĂȘme sans boule visible, une douleur persistante dans le sein, lâaisselle ou les cĂŽtes mĂ©rite aussi votre attention.
Dâautres signes comme des maux de tĂȘte inhabituels, une vision double, des douleurs osseuses, une fatigue musculaire, des nausĂ©es ou une perte de poids inexpliquĂ©e peuvent Ă©galement ĂȘtre rĂ©vĂ©lateurs dâun problĂšme plus profond.
Dans tous les cas, nâattendez pas : consultez votre mĂ©decin ou votre gynĂ©cologue. Mieux vaut un contrĂŽle « pour rien » quâun doute laissĂ© de cĂŽtĂ©. đȘđ